Nous autres, mortels, prenons chaque jour des risques avec notre existence, car nous savons qu'elle aura une fin de toute façon. [...] Mais devant la perspective de vivre éternellement, qui serait assez fou pour prendre des paris avec l'infini comme ça ?
L'humanité humaine est malade de la FOMO (Fear of Missing Out), de la phobie de passer à côté de quelque chose, et même si nous n'avons jamais eu autant de choix, nous avons perdu la capacité de prêter réellement attention à ce que nous choisissons.
Extraits de Poésies, de Paul Valery
Le vent passe en les branches mortes Comme ma pensée en les livres, Et je suis là, sans voix, sans rien, Et ma chambre s’emplit de ma fenêt...
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Je suis capable de nommer "correctement" le splendide vieux pin dont les branches fouettent la fenêtre du haut par grand vent, et...
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Il y a des forces dans les bois, des forces dans le monde, qui vous revendiquent, qui posent une main sur votre épaule si doucement que vou...