[...] Le milieu ne pouvant accueillir qu'un nombre limité et juste d'individus pour chaque espèce, les effectifs sont contrôlés par des phénomènes naturels qui permettent les débordements et de maintenir une forme d'équilibre. La météo en est un. Et cet exemple nous rappelle alors que l'homme est bien une espèce à part, qui a su se soustraire pour partie aux règles et solutions inventées par la nature pour éviter qu'une espèce ne domine les autres. Ainsi, aucune limite (ou presque...) au développement et à l'accroissement de la population pour Homo Sapiens.
Extraits de Poésies, de Paul Valery
Le vent passe en les branches mortes Comme ma pensée en les livres, Et je suis là, sans voix, sans rien, Et ma chambre s’emplit de ma fenêt...
-
Je suis capable de nommer "correctement" le splendide vieux pin dont les branches fouettent la fenêtre du haut par grand vent, et...
-
Il y a des forces dans les bois, des forces dans le monde, qui vous revendiquent, qui posent une main sur votre épaule si doucement que vou...