lundi, mars 08, 2010

Jamais le regret de l'irréparable n'est plus amer : on voudrait reprendre ses jours écoulés, on fait d'admirables plans de conduite, on se doue après coup de persipacités etonnantes : mais la vie ne se retourne pas comme un sablier. Le grain tombé ne remontera jamais. Théophile GAUTIER (Spirite, 1866)

Extraits de Poésies, de Paul Valery

 Le vent passe en les branches mortes Comme ma pensée en les livres, Et je suis là, sans voix, sans rien, Et ma chambre s’emplit de ma fenêt...